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Tintin est de retour aux Bassins des Lumières à Bordeaux – France Bleu pour les vacances de Pâques

L’avez-vous manqué lors de son introduction à la fin de l’année dernière ? Rassurez-vous, Tintin revient aux Bassins des Lumières à Bordeaux. Une véritable plongée dans l’univers du plus célèbre reporter : «Tintin, l’aventure immersive» est de nouveau au programme du vendredi 12 avril au dimanche 28 avril 2024. Vive les vacances de Pâques avec Tim et tous les héros d’Hergé !

Retrouvez-vous en famille aux Bassins des Lumières à Bordeaux pour partir sur les traces de Tintin pendant les vacances de Pâques 2024
Espaces culturels – V. Pinson – Hergé – Tintinimaginatio

Tintin prend d’assaut la base sous-marine de Bordeaux

Tintin, Milou, le Capitaine Haddock, le Professeur Tournesol ou encore Dupond et Dupont… Ils vous retrouveront tous à la base sous-marine de Bordeaux lors de leur grand retour. Lors de cette exposition immersive vous pourrez revivre les plus grandes aventures du célèbre personnage né dans l’imaginaire du dessinateur belge.. Dans cette ambiance particulière de l’ancienne base sous-marine de Bordeaux, des scènes cultes des albums d’Hergé sont projetées sur les murs et dans l’obscurité, sur la bande originale du célèbre compositeur de films Alexandre Desplat. Une aventure unique à vivre entre amis et/ou en famille. Petits et grands vont adorer. Ne manquez pas cette séance de rattrapage !

Les Bassins des Lumières accueillent à nouveau l'exposition
Pendant les vacances de Pâques 2024, l’exposition « Tintin, l’aventure immersive » aura lieu à nouveau aux Bassins des Lumières
Espaces culturels – V. Pinson – Hergé – Tintinimaginatio

« Tintin, l’aventure immersive », page pratique

  • « Tintin, l’aventure immersive» visible du vendredi 12 avril au dimanche 28 avril 2024 de 14h à 20h.
  • Durée de la visite : 1 heure. Dernière entrée 1 heure avant la fermeture
  • De 7 à 15€. Tarif famille (2 adultes et 2 enfants) : 40 €

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Le Dictionnaire des Amoureux de la Moselle : PONT DES MORTS – France Bleu

Chaque matin, Nicolas Turon rend hommage à son département avec un texte drôle, tendre et complice en forme de déclaration d’amour à la Moselle. Il choisit un symbole de l’histoire ou de l’actualité et le traite de manière insolite.

Enfant, c’est le Pont de la Mort de Metz qui me fascinait le plus : traverser ce qu’on appelle un quai était forcément un défi. Dès qu’un adulte autour de moi essayait de trouver un magasin ou un restaurant dans le centre-ville et mentionnait le « Pont des Morts », mon imagination évoquait des fantômes chevauchant des squelettes, des fantômes qui empruntaient leurs traits aux fantômes des morts-vivants de la ville. le dessin animé Les 12 oeuvres d’Astérix, des gardes zombies qui exigeaient votre vie en échange d’un permis de passage, ou encore des soldats des deux guerres, des visages brisés dont on nous parlait à l’école, pendus sous les arcades… Il doit absolument y avoir une princesse à l’autre bout de la rue. l’œuvre reçut un tel nom et était gardée par un dragon. Je ne traversais jamais le bâtiment sans quelques armes, des marrons dans les poches et les poings serrés autour des marrons. J’ai été très surpris : on ne nous a pas appris en cours que le Styx se déversait dans Metz.

Le pont de plus de 200 mètres de long se situe entre l’actuelle rue de Paris et le Square du Luxembourg…

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France

« Je ne peux pas abandonner », le combat d’Ansoumane Diakité, un étudiant guinéen à Rouen menacé d’expulsion – France Bleu

Son sourire s’efface et ses yeux se remplissent de larmes alors qu’Ansoumane Diakité raconte ce qu’il a ressenti le 26 décembre 2023. Ce jour-là, il reçoit du préfet de Seine-Maritime un engagement de quitter le territoire français (OQTF). « J’ai été touché à l’arrière de la tête, je ne m’attendais pas du tout à ça. Je n’ai jamais rien fait, je n’ai jamais eu affaire à la police. Pourquoi moi? Qu’ai-je fait pour mériter cela? »demande le jeune homme qui se bat pour rester à Rouen.

En 2018, Ansoumane Diakité un 14 ans lorsqu’il a fui son pays, Guinée. Adolescent, il traverse plusieurs pays d’Afrique, l’Italie et la France et arrive à Rouen, où il est pris en charge par une famille. Après acquis plusieurs diplômes : « Il a complété son brevet d’études collégiales avec 100/100 en français oral, son baccalauréat avec mention, il étudie désormais à temps partiel au lycée Marcel Sembat et ses professeurs sont prêts à le soutenir pour qu’il puisse fréquenter une école d’ingénieur. « » énumère fièrement Isabelle Lemetais, qui a enregistré Rouennaise avec son mari et sa fille Ansoumane Diakité.

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Une lettre qui bouleverse tout

Après que le jeune homme a été informé le 11 janvier 2024 qu’il était désormais soumis à une OQTF, son contrat de travail a été suspendu. Ansoumane Diakité ne perçoit plus son salaire d’étudiant travaillant dans le domaine de l’électrotechnique. « J’ai un studio que je paie avec mon salaire. Pour le moment, j’arrive à continuer comme ça, mais ça devient de plus en plus compliqué.

Au-delà de l’aspect financier, le jeune homme avoue que c’est difficile, notamment sur le plan psychologique. « C’est très, très difficile pour moi aujourd’hui. C’est grâce à ma famille, mes amis et l’entreprise que je tiens encore le coup qui sont toujours là. Je ne peux pas abandonner, c’est un combat mais nous devons y aller. Un combat dans lequel Ansoumane Diakité a perdu une bataille : le 19 février 2024, le tribunal administratif lui a refusé l’autorisation de reprendre son travail.

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Contacté par France Bleu Normandie, la préfecture de Seine-Maritime « ne communique pas sur la situation ». « Les motifs de rejet de la demande de titre de séjour de l’intéressé découlent de la mesure d’éloignement prise à son encontre ; les arguments ont été présentés dans le cadre du contentieux devant le juge administratif. »

Une pétition, une bâche… l’entourage du jeune homme mobilisé à Rouen

UN La nouvelle audience devrait avoir lieu en mars ou avril 2024, cette fois-ci concernant le recours d’Ansoumane Diakité contre son OQTF. Mobiliser les gens autour de lui. Une bâche portant les mots suivants était tendue sur la façade de la mairie de Rouen : « Il est intégré, responsable. Il pourrait néanmoins être expulsé. Est-ce la France que nous voulons ? UN La pétition est également publiée en ligne. Ansoumane Diakité est soutenu par son entourage à Rouen, mais pas par les membres de sa famille restés en Guinée : il ne les a pas prévenus de cette OQTF pour ne pas leur causer de souffrance.

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France

80 ans du débarquement : le vétéran basque-béarnais Joseph Hourçourigaray fascine les lycéens normands – France Bleu

Début décembre 2023 France Bleu a lancé son opération Anciens Combattants., marquant le 80e anniversaire du débarquement. Depuis, 15 classes de collèges et lycées normands travaillent à créer Portraits d’anciens combattants de la Seconde Guerre mondiale, peu ou pas connu. Ci-dessous, le Basco-Béarnais Joseph Hourçourigaray, membre du commandement Kieffer, un des rares à participer au débarquement allié en 1944.

Il rejoint la résistance en Angleterre

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Joseph Hourçourigaray est né à Esquiule en 1921. A 18 ans, il décide de s’engager dans les forces navales françaises. Un an plus tard Il quitte le régime de Vichy pour rejoindre l’Angleterre, où s’organise la résistance. L’attaque a eu lieu le 6 juin 1944. Joseph Hourçourigaray était l’un des 177 soldats du commandement Kieffer qui ont libéré la ville d’Ouistreham dans le Calvados. Dans un reportage de France 3 datant de 2004, il décrit un « grondement de tonnerre continu » pendant le combat.

« Il y avait des coups de feu partout, il y avait un grondement de tonnerre. » » déclarait Joseph Hourçourigaray en juin 2004 sur la chaîne France Bleu Béarn Bigorre à l’occasion du 60ème anniversaire du Débarquement. « Nous avons été les premiers à toucher le sol français. Et puis on a senti la quille heurter et il a fallu franchir les deux lignes défensives. Les incendies avaient commencé avant que nous atteignions la terre ferme.. Autour de lui, Camarades blessés et tués : « Et il était impossible de les aider », dit-il, « il suffisait de nous précipiter et de tenir le coup ».. Il est lui-même blessé lors de l’attaque et évacué vers l’Angleterre avant de retourner au front en Normandie en août.

« Un gars qui a eu la chance de ne pas avoir de trou dans la peau »

Quatre jours plus tard, Sur 177 commandos, seuls 70 sont encore en vie, dont le Basco-Béarnais. Est-ce un héros ? « Un héros, qu’est-ce que c’est ? Un gars qui a eu la chance de ne pas avoir de trou dans la peau et c’est tout !assure-t-il, toujours dans ce reportage de France 3, tourné 60 ans après.

Cependant, Joseph Hourçourigaray est décédé en 2008 Son petit cousin témoigne ce mardi entre 9h et 10h sur France Bleu Béarn Bigorre. L’occasion d’échanger avec des étudiants d’Evreux en Normandie qui ont travaillé sur son portrait.

D’autres de ses descendants poursuivent également ce devoir de mémoire. Sa petite-fille Sarah Hourçourigaray vit en Normandie, à Granville dans la Manche, où elle enseigne les beaux-arts et l’histoire de l’art au lycée. Elle interagira également avec les élèves, un moment important selon elle pour entretenir le lien entre son histoire familiale et l’histoire de la guerre.

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